dimanche 18 octobre 2009

Woyzeck de georg büchner, Usine C, Montréal















Woyzeck de Georg Büchner. Marc Béland, acteur. Photo, Angelo Barsetti.

18 mars 2009, Paru dans Facebook, Lise Tremblay Thibodeau

Woyzeck de georg büchner, Usine C, Montréal









Marc Béland, acteur dans la pièce Woyzeck de Georg Büchner à l'Usine C. Photo, Jocelyn Michel.

18 mars 2009 - Paru dans Facebook, Lise Tremblay Thibodeau


Woyzeck de georg büchner, Usine C, Montréal

J'ai vu Woyzeck de georg büchner ce soir à Montréal à l'Usine C. Ça fait du bien de voir de l'excellent théâtre. Les personnages sont extraordinairement définis par des acteurs qu'on oublie. Féroce, grotesque, d'une profondeur dont on a bien besoin.

http://www.sibyllines.com/

woyzeck

Les immigrants irlandais au Québec..























Dédé Fortin, Émission De bouche à oreille, 9 mai 1999



12 mars 2009 - Paru dans Facebook, Lise Tremblay Thibodeau

Dédé Fortin, Émission De bouche à oreille, 9 mai 1999 http://archives.radio-canada.ca/arts_culture/musique/clips/16610/

http://archives.radio-cana

da.ca/arts_culture/musique

/clips/16610/

Dédé Fortin, chanteur des Colocs

Date de diffusion : 9 mai 1999 – Émission De bouche à Oreille – 9,7

Dans les années 1990, Les Colocs connaissent un grand succès au Québec avec des chansons comme Julie, La Rue principale et Tassez-vous d'là. L'âme du groupe, l'auteur compositeur et interprète Dédé Fortin, va exprimer son talent et sa créativité sur la scène et dans la réalisation de vidéoclips.

Un an avant qu'il ne s'enlève la vie, le 8 mai 2000, Dédé Fortin accordait cette entrevue à Johane Despins.

Dédé Fortin, chanteur des Colocs

• André Fortin est né le 17 novembre 1962 à Saint-Thomas-Didyme, dans la région du Lac-Saint-Jean. Avant-dernier d'une famille de 11 enfants, il passe son adolescence à Normandin, avant de déménager à Montréal.

• André « Dédé » Fortin fonde le groupe Les Colocs en 1990 avec ses colocataires du 2116, boulevard Saint-Laurent. En dix ans d'existence, le groupe va sortir trois albums: Les Colocs (1993), Atrocetomique (1995) et Dehors Novembre (1998).

• Le 13 novembre 1994, le sida emporte l'harmoniciste du groupe, Patrice Esposito.

• Sorti en mars 2009, le film Dédé, à travers les brumes retrace la vie du chanteur des Colocs. Il met en vedette Sébastien Ricard, du groupe Loco Locass.http://archives.radio-canada.ca/arts_culture/musique/clips/16610/

vendredi 16 octobre 2009

Bashung, les saluts dans la mort














16 mars 2009 Paru dans Facebook, Lise Tremblay Thibodeau

Bashung, les saluts dans la mort

GUILLAUME BOURGAULT-CÔTÉ - Le Devoir

Édition du lundi 16 mars 2009

L'inclassable géant de la chanson française s'est éteint à 61 ans

Photo: Agence France-Presse

L'artiste était immense, et son oeuvre aussi: le décès d'Alain Bashung, samedi, a secoué toute la francophonie musicale. Hier, les hommages ont plu pour saluer l'homme vaincu par le cancer du poumon.

On avait bien vu aux dernières Victoires de la musique -- le 28 février -- qu'il était amaigri, que les gestes étaient fragiles et le teint spectral. Mais c'était Bashung. Et Bashung n'allait pas mourir si vite, quand même. Il allait encore botter le cul à ce cancer qui lui mangeait le poumon, n'est-ce pas? Mais non.

Véritable icône de la chanson française, rassemblant derrière lui tant la critique la plus sérieuse qu'un public large et fidèle, Alain Bashung s'est éteint à Paris, samedi, entouré des siens. Il avait 61 ans.

Fin 2007, Alain Bahsung avait appris qu'il souffrait d'un cancer du poumon. Trop de Gauloises. Mais il a affronté la maladie comme il a mené sa carrière: avec grandeur et prestance. Un truc qui impose le respect.

En mars 2008, il livrait ainsi un nouvel album, Bleu Pétrole, porté aux nues par tout ce que la France et le Québec comptent de critiques. Un disque terriblement pertinent, qu'il a porté sur scène malgré la maladie (encore cette semaine, il devait jouer à Paris trois soirs, entre quelques traitements de chimiothérapie).

Le crâne chauve sous son chapeau noir, la peau blanche, la démarche chancelante, Bashung n'offrait pourtant pas le spectacle d'un homme décharné. Quand il chantait, Bashung redevenait Bashung, racontait la presse hexagonale. Porté par la musique, élevé par ce rock chansonnier unique, à la fois ténébreux et lumineux.

Samedi, le cancer a finalement triomphé. Bashung est mort. Le constat, brutal, a secoué plusieurs cercles. Le président Nicolas Sarkozy a parlé d'un «prince, un immense poète, un chanteur engagé».

Unanimes, ses collègues artistes ont célébré son talent. «Alain Bashung est génial parce qu'il a fait quelque chose d'assez sophistiqué, d'assez audacieux, même très audacieux... Il a montré que c'était possible d'élever les choses vers le haut», a estimé le chanteur Arthur H sur France-Inter, cité par l'Associated Press.

«Sur le plan humain, il était aux antipodes de ce qu'il chantait, parce que ce qu'il chantait était très provocateur et lui, dans la vie, était le contraire de ça: en retrait, timide et humble», déclarait sur RTL Françoise Hardy.

Quant à Jane Birkin, elle se rappelait un «gentleman», «peut-être l'un des hommes les plus élégants», mais aussi «le plus pudique» et «le plus mystérieux», évoquant «sa générosité et sa délicatesse» (AP). Le chanteur Bénabar, lui, parlait d'un artiste si humble qu'il donnait l'impression «qu'il ne savait pas qu'il était Alain Bashung».

Selon Pascal Nègre, président d'Universal Music France -- où enregistrait Bashung par la filiale Barclay, Bashung «était un des derniers géants de la chanson française», d'après l'expression consacrée par l'hebdomadaire culturel Les Inrockuptibles. «Il rejoint au firmament Brel, Barbara, Brassens et Ferré. C'était un artiste atypique et complet, un chercheur musical, un chanteur, un parolier et un comédien. C'était un esthète absolu, avec un univers unique.»

Aventurier sonore

Défricheur sonore et poétique, aventurier des routes sinueuses, Alain Bashung portait la réputation d'un artiste intègre et audacieux ne cédant rien à la facilité ou au goût du jour. Un inclassable, a-t-on souvent dit de lui.

S'il était capable d'écrire des succès radio -- Vertiges de l'amour, Gaby, Osez Joséphine, Ma petite entreprise, La nuit je mens --, il a surtout fait sa marque au moyen d'albums déployant un univers qui ne pouvait être associé qu'à lui. Il y avait Bashung, et il y avait les autres.

Chez cet être discret et charismatique, innovateur, l'audace des arrangements s'accordait parfaitement à un univers poétique profond et souvent ténébreux. Son style vestimentaire ajoutait au personnage: lunettes noires, bottes de cow-boy sur un jean noir, veste de cuir, chapeau, Bashung en imposait au premier pas sur scène.

Né en décembre 1947, Alain Baschung -- tel qu'il écrivait son nom au départ -- a grandi à Paris et étudié quelques années en comptabilité avant de plonger dans le monde de la musique.

Les années de galère ont duré longtemps, et le succès ne viendra qu'à partir de 1980, avec l'album Pizza. Suivront des collaborations avec Serge Gainsbourg (Play blessures, 1982) et avec le parolier Jacques Fauque (Novice -- 1989 -- et Osez Joséphine, gros succès public en 1991).

À partir de là, Bashung entre dans la phase la plus signifiante de son oeuvre: ses albums Chatterton (1994), Fantaisie militaire (1998, désigné comme étant le meilleur disque des vingt années précédentes lors de la 20e édition des Victoires, en 2005), L'Imprudence (2002, sorte de poème symphonique très dense) ou Bleu Pétrole ont tous reçu l'approbation du public et de la critique pour tranquillement inscrire Bashung au panthéon des grands.

Le 28 février dernier, il était devenu l'artiste le plus primé des Victoires de la musique -- l'équivalent du gala de l'ADISQ. En janvier, il avait été promu Chevalier de la Légion d'honneur.

Fort apprécié de ce côté de l'Atlantique, Alain Bashung aura présenté son dernier spectacle au Québec lors des Francofolies de 2005, au Métropolis.

Léa Roback - Grande humaniste, 10-93 http://archives.radio-canada.ca/societe/syndicalisme/dossiers/1177-6422/


8 mars 1009 - Paru dans Facebook, Lise Tremblay Thibodeau

Léa Roback, le goût de l'action

Date de diffusion : 24 octobre 1993

Léa Roback, le goût de l'action

Date de diffusion : 24 octobre 1993

http://archives.radio-cana

da.ca/societe/syndicalisme

/dossiers/1177-6422/

Léa Roback est née à Montréal en 1903 dans une famille d'immigrants juifs polonais. Lorsqu'elle est toute petite, ses parents déménagent à Beauport près de Québec où ils administrent le magasin général. Elle grandit donc dans la seule famille juive de ce village canadien-français. À la maison, elle parle le yiddish avec ses frères et sœurs, mais elle s'exprime en français avec ses compagnes canadiennes-françaises et étudie en anglais à Québec.

Dans cette entrevue qu'elle accorde à l'âge de 90 ans, Léa Roback, vieille dame espiègle et pétillante, raconte son enfance et le goût de voyage qui a animé sa jeunesse.

En 1925, voulant « tâter le pouls de la vie », Léa Roback part pour l'Europe, d'abord en France puis en Allemagne. Léa étudie dans le Berlin des années folles où elle assiste au théâtre ouvrier de Bertold Brecht, aux concerts, aux opérettes, mais aussi à la montée du nazisme. C'est à cette époque que commence son engagement au sein du Parti communiste. Trouvant le Parti socialiste trop tempéré, son goût de l'action la fait adhérer à une cellule communiste de l'Université de Berlin. Juive, communiste et étrangère, Léa est menacée par la situation politique en Allemagne : ses professeurs lui conseillent de rentrer chez elle.

De retour à Montréal en 1932, Léa Roback continue à travailler avec le Parti communiste local et ouvre la première librairie marxiste de la ville, rue Bleury, à deux pas du Gesù. Parmi les clients qui fréquentent la librairie figure le médecin Norman Bethune. Les rafles de police y sont fréquentes, les livres à couverture rouge sont même confisqués. En 1936, Léa Roback fait son entrée à l'Union internationale des ouvriers du vêtement pour dames comme directrice de l'éducation. Dès l'année suivante, elle participe à l'organisation de la grève des 5000 ouvriers de l'industrie textile.http://archives.radio-canada.ca/societe/syndicalisme/dossiers/1177-6422/

Léa Roback est née à Montréal en 1903 dans une famille d'immigrants juifs polonais. Lorsqu'elle est toute petite, ses parents déménagent à Beauport près de Québec où ils administrent le magasin général. Elle grandit donc dans la seule famille juive de ce village canadien-français. À la maison, elle parle le yiddish avec ses frères et sœurs, mais elle s'exprime en français avec ses compagnes canadiennes-françaises et étudie en anglais à Québec.

Dans cette entrevue qu'elle accorde à l'âge de 90 ans, Léa Roback, vieille dame espiègle et pétillante, raconte son enfance et le goût de voyage qui a animé sa jeunesse.

En 1925, voulant « tâter le pouls de la vie », Léa Roback part pour l'Europe, d'abord en France puis en Allemagne. Léa étudie dans le Berlin des années folles où elle assiste au théâtre ouvrier de Bertold Brecht, aux concerts, aux opérettes, mais aussi à la montée du nazisme. C'est à cette époque que commence son engagement au sein du Parti communiste. Trouvant le Parti socialiste trop tempéré, son goût de l'action la fait adhérer à une cellule communiste de l'Université de Berlin. Juive, communiste et étrangère, Léa est menacée par la situation politique en Allemagne : ses professeurs lui conseillent de rentrer chez elle.

De retour à Montréal en 1932, Léa Roback continue à travailler avec le Parti communiste local et ouvre la première librairie marxiste de la ville, rue Bleury, à deux pas du Gesù. Parmi les clients qui fréquentent la librairie figure le médecin Norman Bethune. Les rafles de police y sont fréquentes, les livres à couverture rouge sont même confisqués. En 1936, Léa Roback fait son entrée à l'Union internationale des ouvriers du vêtement pour dames comme directrice de l'éducation. Dès l'année suivante, elle participe à l'organisation de la grève des 5000 ouvriers de l'industrie textile.

Le droit de vote - Entrevue avec Thérèse Casgrain, février 1975


8 mars 2009 - Paru dans Facebook, Lise Tremblay Thibodeau

Les Québécoises obtiennent le droit de vote

http://archives.radio-cana

da.ca/politique/droits_lib

ertes/dossiers/3695-9428/

Date de diffusion : 23 février 1975

Après 1918, les Québécoises votent aux élections fédérales, mais ce droit ne leur est pas accordé dans leur province. Le Comité provincial pour le suffrage féminin, fondé en 1922, tente de faire déposer un projet de loi sur le suffrage des femmes à l'Assemblée législative du Québec. Chaque année, de 1927 à 1940, les suffragettes se rendent dans la capitale pour rencontrer le premier ministre et exposer le bien-fondé de leur demande. Comme l'explique Thérèse Casgrain, militante et figure emblématique de cette cause, les femmes de tous les milieux, anglophones et francophones, étaient unies dans cette lutte.

Idola Saint-Jean fonde l'Alliance canadienne pour le vote des femmes du Québec en 1927, à la demande d'ouvrières. De son côté, Thérèse Casgrain préside le Comité provincial, devenu la Ligue pour les droits de la femme en 1929. Ces deux associations regroupent les suffragettes de la province.

En 1939, pour la première fois, des femmes participent au congrès d'orientation du Parti libéral. Une résolution sur le suffrage féminin est inscrite au programme électoral. Lorsque les libéraux d'Adélard Godbout sont portés au pouvoir, le projet de loi 18 est présenté et accepté par l'Assemblée avec une large majorité. Sanctionné le 25 avril 1940, il accorde aux Québécoises le droit de voter et de se faire élire.

Les forces conservatrices au Québec retardent la victoire des suffragettes jusqu'en 1940. Les propos virulents du clergé et de certains intellectuels portent pour la plupart sur la place des femmes au foyer et leur rôle de « gardienne de la race canadienne-française ». Pour Henri Bourassa, fondateur du journal Le Devoir, en participant à la vie politique, les femmes risquent de devenir « de véritables femmes-hommes, des hybrides ». Des femmes elles-mêmes, surtout dans les campagnes, s'opposent au suffrage féminin, estimant qu'elles perdraient leur pouvoir à la maison en participant à la vie publique.

Simone Monet-Chartrand - 8 mars 1992 (1919-1993)


8 mars 2009 - Paru dans Facebook, Lise Tremblay Thibodeau

Simone Monet-Chartrand - 8 mars 1992 http://archives.radio-canada.ca/politique/droits_libertes/dossiers/3695-9877/

POUR LES DROITS DES FEMMES

Entrevue avec Simone Monet-Chartrand - 8 mars 1992

Date de diffusion : 8 mars 1992

À l'occasion du 8 mars, Journée internationale des femmes, Carole Vallières s'entretient avec Simonne Monet-Chartrand.

Pionnière dans les luttes pour l'avancement de la cause des femmes, la militante parle du chemin parcouru et des luttes qu'il reste à mener. Elle dénonce avec passion l'apathie ambiante, l'individualisme, le manque de courage, et déplore les clivages entre les divers groupes féministes qui freinent l'avancement de la cause. Elle s'étonne que les jeunes femmes rejettent le mot « féministe ». Pour elle, croire à l'égalité des sexes, c'est déjà être féministe.

Simonne Monet-Chartrand raconte qu'elle est devenue féministe à 20 ans, le jour où elle a appris qu'elle n'avait pas le droit de voter. Elle croyait que c'est parce qu'elle n'avait pas encore atteint l'âge de la majorité légale de 21 ans, mais son père lui explique alors : « Non, c'est parce que tu es une femme ». Depuis ce jour, elle milita activement pour les droits des femmes.

Elle participe au congrès de fondation de la Fédération des femmes du Québec, qui a lieu les 23 et 24 avril 1966, et fait partie du premier conseil d'administration de la fédération. Elle contribue également à la rédaction de plusieurs mémoires soumis à la commission d'enquête sur la condition féminine de 1968.

Dernière mise à jour : 22 décembre 2004.http://archives.radio-canada.ca/politique/droits_libertes/dossiers/3695-9877/

L'élection de Gérald Godin- http://archives.radio-canada.ca/arts_culture/poesie/dossiers/83-967/




Paru le 7 mars 2009 dans Facebook (Lise Tremblay Thibodeau)

L'appel de la politique a raison de Gérald Godin.

Les Archives de Radio-Canada.

http://archives.radio-cana

da.ca/arts_culture/poesie/

dossiers/83-967/

Date de diffusion : 15 mars 1980

Gérald Godin est le premier surpris quand, en novembre 1976, il remporte l'élection dans la circonscription de Mercier, à Montréal, avec une majorité écrasante de 3700 voix. Son adversaire à l'époque n'est nul autre que Robert Bourassa.

Godin, qui s'est lancé en campagne sans grand espoir, simplement pour « vivre une nouvelle expérience humaine », devient alors le « poète de l'Assemblée Nationale ». Il y sera réélu à trois reprises, en avril 1981, décembre 1985 et septembre 1989.

Rapidement, Gérald Godin se fait une place dans le monde de la politique, avec un style et surtout une verve qui ne laissent pas indifférent. Adjoint parlementaire du ministre des Affaires culturelles en 1979, il occupera les postes de ministre de l'Immigration, de ministre des Affaires culturelles mais aussi de ministre des Communautés culturelles.

Dans chacun de ces ministères, il arrivera à imposer son style, empreint de la poésie qui l'habite depuis son jeune âge.

Sur la scène politique, la popularité de Gérald Godin est grandissante. « Les gens m'appellent le "député-poète", et la mythologie qu'entourent ces mots jette une sorte d'auréole autour de ma personne. Ça me permet plus de liberté; je peux dire les choses différemment. Plus fortement », confiera-t-il dans les pages du Devoir en 1991.

The Americans - Photographs by Robert Frank

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